L’onboarding : une question (d’émotion) collective ?
- Christian del Fondo
- 17 avr.
- 2 min de lecture
Dernière mise à jour : 23 avr.

Si l’onboarding se limitait aux compétences techniques, nous n’en parlerions plus !
Pourtant, les chiffres parlent d'eux-mêmes : 33 % des managers déçus, ~50 % partent < 18 mois (source : HBR).
Quid du coût et de l’efficience ?
Rejoindre une nouvelle équipe, c’est un peu comme entrer dans une danse où chacun apprend à se synchroniser. Il faut trouver sa place et exister dans le groupe.
Dans la nature, l’arrivée d’un nouvel élément dans un écosystème entraîne des interactions et est souvent perçue comme une menace avant de créer des opportunités. Réaction animale, nous nous « reniflons » pour nous familiariser !
La phase initiale d’onboarding — observation, découverte, apprentissage, transformation — est cruciale pour poser les bases d’une performance durable, tant individuelle que collective. Les 100 premiers jours sont déterminants! Période où l’alchimie s’opère entre le nouvel arrivant et ceux déjà en place (collaborateurs, pairs et boss).
Et si faire de l’onboarding un levier de performance collective signifiait passer de “réussir l’intégration du nouveau“ à “réussir l’interaction collective“ ?
L’émotion collective crée l’engagement, l’enthousiasme et la performance. Les moments authentiques de connexion sont essentiels pour instaurer la confiance, renforcer la cohésion et favoriser la réussite.
Un accompagnement personnalisé (3 mois ; 3 types d’accompagnements (collectif, individuel et flash coaching) ; 3 interactions clés) :
L’équipe : le cœur du réacteur 3 matinées en collectif avec l’équipe : se découvrir ; co construire le fonctionnement optimal ; se projeter pour devenir une “dream team“ en individuel pour soutenir l’intégration et la prise en main de l’équipe
Le supérieur hiérarchique instaurer la confiance et la transparence, être alignés : un accompagnement spécifique (pour le nouvel entrant et son boss)
Les pairs le réseau de soutien essentiel, si nécessaire, pour faciliter l’intégration et gérer les éventuels défis de collaboration.
Miser sur l’émotion collective pour l’onboarding ?
Cela permet de réduire les maladresses et le temps nécessaire pour instaurer la confiance et un fonctionnement optimal. Les équipes qui partagent des émotions positives développent une résilience commune. Elles relèvent les défis ensemble, célèbrent les succès et soutiennent chaque membre lors des périodes difficiles. Ce soutien mutuel crée un climat où l’on ose prendre des initiatives, s’exprimer sans crainte et innover.
En résumé, l’émotion collective alimente l’énergie individuelle et booste la performance globale.
Et maintenant ?
Et si l’onboarding devenait plus qu’une simple formalité administrative pour devenir un moment clé où l’émotion collective devient la force motrice de la réussite ?
Qu’en pensez-vous ? Qu’aimeriez-vous voir dans votre processus d’onboarding ?
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